Ballet around a black hole
In this artwork, I depicted the approach of a black hole with a particles ballet “running” all along circles and spirals, and symbolized by electrons in blue, neutrinos in green-grey or purple and photons are in yellow fames.
In this artwork, I depicted the approach of a black hole with a particles ballet “running” all along circles and spirals, and symbolized by electrons in blue, neutrinos in green-grey or purple and photons are in yellow fames.
Ballet autour d'un trou noir (2007 - 89 x 116 cm - huile sur toile - 1 700 €)
Cette œuvre m’a été inspirée par un dessin d’ordinateur figurant en petit format sur Sciences et Avenir de décembre 2006. Sur le texte explicatif on peut lire : cette « œuvre » n’a rien à envier à un tableau abstrait. J’avais déjà pensé à un tableau grand format avant même de lire ce texte !
Au centre de l’œuvre le trou noir est représenté par le cercle sombre dans lequel sont aspirées les particules en petits ronds jaune vert violet gris. Autour de ce cercle on aperçoit une ronde de photons en petites flammes jaunes qui « dansent » autour du trou noir avant d’être engloutie.
Voici quelques passages du livre « Les trous noirs » de Jean-Pierre Luminet : p 167 : un trou noir est une région de l’espace-temps à l’intérieur de laquelle le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute matière et tout rayonnement de s’échapper. Il peut théoriquement exister des trous noirs de toutes tailles et de toutes masses. Pages 200-201 : le puit gravitationnel d’un trou noir en rotation ressemble à un tourbillon marin, les cônes de lumière sont non seulement déviés vers l’intérieur du champ gravitationnel mais ils sont également entraînés dans le sens de rotation du trou noir.
Sur cette œuvre l’approche du trou noir est représentée par les grands cercles et spirales en jaune, puis vert bleu et rouge, avec autour les particules symbolisées par les électrons en bleu, les neutrinos en vert gris ou violet et les photons en flammes jaunes. P 265 : le principe d’incertitude entre temps et énergie permet de comprendre pourquoi le vide quantique est peuplé : l’énergie du vide peut se matérialiser en particules élémentaires. A chaque particule élémentaire correspond une anti-particule aux propriétés « miroir ». P 267 : lorsque deux paires de particules se rencontrent le processus prépondérant est le suivant selon les calculs de Hawking : l’antiparticule est capturée par le trou noir et la particule se matérialise dans le monde extérieur. En capturant des antiparticules le trou noir perd donc de la masse. Les paires de particules –antiparticules sont représentées ici dans des cercles rouges, avec de part et d’autre en éclatement orangé la création ou l’annihilation de ces particules. P 266 : lorsqu’une paire virtuelle électon-positron surgit du vide, l’électron est dévié par le champ électrique dans une certaine direction tandis que le positron est dévié dans la direction opposée. D’autres paires de particules antiparticules telles les neutrinos ou les photons se créent et s’annihilent sans cesse ici représentées dans deux directions opposées en petits ronds vert gris violet ou flammes jaunes pour les photons.
Plus à l’extérieur au bord de l’œuvre apparaissent les atomes d’hélium avec leurs deux protons et neutrons en petits ronds bleus et rouges correspondant à des particules de plus grosse masse.
Au centre de l’œuvre le trou noir est représenté par le cercle sombre dans lequel sont aspirées les particules en petits ronds jaune vert violet gris. Autour de ce cercle on aperçoit une ronde de photons en petites flammes jaunes qui « dansent » autour du trou noir avant d’être engloutie.
Voici quelques passages du livre « Les trous noirs » de Jean-Pierre Luminet : p 167 : un trou noir est une région de l’espace-temps à l’intérieur de laquelle le champ gravitationnel est si intense qu’il empêche toute matière et tout rayonnement de s’échapper. Il peut théoriquement exister des trous noirs de toutes tailles et de toutes masses. Pages 200-201 : le puit gravitationnel d’un trou noir en rotation ressemble à un tourbillon marin, les cônes de lumière sont non seulement déviés vers l’intérieur du champ gravitationnel mais ils sont également entraînés dans le sens de rotation du trou noir.
Sur cette œuvre l’approche du trou noir est représentée par les grands cercles et spirales en jaune, puis vert bleu et rouge, avec autour les particules symbolisées par les électrons en bleu, les neutrinos en vert gris ou violet et les photons en flammes jaunes. P 265 : le principe d’incertitude entre temps et énergie permet de comprendre pourquoi le vide quantique est peuplé : l’énergie du vide peut se matérialiser en particules élémentaires. A chaque particule élémentaire correspond une anti-particule aux propriétés « miroir ». P 267 : lorsque deux paires de particules se rencontrent le processus prépondérant est le suivant selon les calculs de Hawking : l’antiparticule est capturée par le trou noir et la particule se matérialise dans le monde extérieur. En capturant des antiparticules le trou noir perd donc de la masse. Les paires de particules –antiparticules sont représentées ici dans des cercles rouges, avec de part et d’autre en éclatement orangé la création ou l’annihilation de ces particules. P 266 : lorsqu’une paire virtuelle électon-positron surgit du vide, l’électron est dévié par le champ électrique dans une certaine direction tandis que le positron est dévié dans la direction opposée. D’autres paires de particules antiparticules telles les neutrinos ou les photons se créent et s’annihilent sans cesse ici représentées dans deux directions opposées en petits ronds vert gris violet ou flammes jaunes pour les photons.
Plus à l’extérieur au bord de l’œuvre apparaissent les atomes d’hélium avec leurs deux protons et neutrons en petits ronds bleus et rouges correspondant à des particules de plus grosse masse.